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Histoire d’un jeune dandy en pyjama de soie !

> 10 septembre 2023

Histoire d’un jeune dandy en pyjama de soie !

La vie n’est pas simple pour les héros de Francis Fitzgerald.1 Il y a de l’argent… mais la vie n’a aucun sens. La vie est « absurde », tout simplement ! Anthony est l’un de ces individus blasés, qui considère certaines femmes comme des passe-temps ! Des passe-temps, pour tuer le temps, avant de vivre le grand amour avec une femme unique en son genre, une beauté hâlée, qui mâche des boules de gomme… Une femme du nom de Gloria, qu’il va épouser. Un mariage tumultueux, peuplé de disputes quotidiennes ! Un écrivain sans inspiration, une femme qui se rêve star de cinéma, mais ne possède aucun talent, Anthony et Gloria sont faits l’un pour l’autre !

Adam J. Patch, un raseur de première classe

Anthony Comstock Patch est le petit-fils d’Adam J. Patch, un self-made man, qui, de retour de la guerre de Sécession, se lance dans les affaires et y réussit très bien. Une vie de labeur plus tard, le vieil homme vertueux consacre le reste de son existence à lutter contre les vices, comme la consommation d’alcool, de « spécialités pharmaceutiques », de livres… Bref un « raseur de première classe » ! « Prétentieux », « rasoir », tels sont les qualificatifs utilisés par Anthony pour décrire un grand-père qu’il déteste cordialement.

Anthony Patch, un étudiant bien rasé

Anthony est un jeune homme qui a fréquenté les meilleures écoles. L’Université d’Harvard en cerise sur le gâteau ! Beaucoup d’argent de poche pour ce jeune « dandy raffiné », qui collectionne les « pyjamas de soie » et dort dans des draps en « satin » ! C’est sûrement la ouate qu’il préfère !

Ce jeune étudiant est extrêmement « soigné de sa personne ». On ne le verra jamais arrivé « ébouriffé » en cours.

Anthony Patch, un étudiant bien logé

Anthony vit dans un luxueux appartement, qui ne sent « ni le tabac ni l’encens » ! Chaque mois, un agent de change lui remet une coquette somme provenant des « intérêts du capital hérité de sa mère ».

Une chambre à coucher immense ! Une salle de bain également immense, qualifiée par l’auteur de « gaie » et même de « facétieuse ». Une salle de bain avec une baignoire originale qui, en lieu et place du porte-savon, possède un « ingénieux porte-livre ».

Dans cette salle de bain, tout n’est que luxe et volupté, grâce à des serviettes et à des tapis de bain d’une belle épaisseur. Des accessoires à la miraculeuse « douceur ». Le baigneur, qui sort le pied de la baignoire, est immédiatement saisi par un bien-être fantastique. Le tapis de bain semble « presque masser les pieds mouillés ».

Cette salle de bain constitue la « fierté » d’Anthony, qui y passe le plus clair de son temps. Chaque bain est l’occasion, pour lui, de s’envoler dans des « rêveries d’une grande sensualité ».

Une fois sorti de son « état de contentement rêveur », il retrouve les réalités triviales d’une toilette de qualité. Il y porte « l’attention méticuleuse d’un cireur de bottes ».

Anthony Patch, un écrivain déprimé

Un peu rasoir cet Anthony, qui a décidé de laisser filer sa vie sans rien faire, pour la bonne raison que rien n’en vaut la peine ! Pas question pour lui de « travailler 10 heures par jour pendant les 20 plus belles années de sa vie pour faire un travail assommant, automatique, qui n’a en tout cas pas le moindre degré d’altruisme ».

En attendant l’inspiration qui le conduira tout droit à la gloire, Anthony tente d’écrire un roman facile, un roman « à l’eau de rose », baignant dans un « scénario sucré à la saccharine ». Un échec !

Et puis la Grande Guerre arrive. L’espoir de s’y faire tuer redonne goût à la vie à Anthony. Dans un camp d’entraînement, il attend impatiemment de se battre. Pour patienter, il entretient une liaison avec une jeune fille de 19 ans, Dorothy Raycroft. Une « petite fleur brune » qui, selon ses dires, se fanera vite ! Une petite brune qui poudre son visage, afin de lui conférer le teint pâle encore, alors, en vigueur (« La chambre tranquille avec son odeur féminine de poudre de riz et de parfums mêlés »).

Une jeune fille qui sera abandonnée, au clair de lune, au moment de retourner chez soi. « […] la lune poursuivant son interminable travail de maquillage du vilain teint de la terre, répandait son miel illicite sur la rue assoupie. »

Anthony Patch, un marié mal rasé

Mauvaise nuit, que la dernière nuit en célibataire d’Anthony. Au réveil, il est tout « pâle » et sa peau est marquée d’une « demi-douzaine de petites imperfections », noyées dans un « soupçon de barbe ». Il ne manquait plus que cela ! Bon… Il n’est, tout de même pas trop mal ce beau marié au bras de la très belle Gloria !

Maury Noble, un ours bien léché

Maury Noble est l’ami d’Anthony. D’aspect, on peut le comparer à un « grand matou ». Puissant, de « taille herculéenne », il porte ses cheveux « lisses et aplatis comme s’ils avaient été léchés par une mère chatte. »

Afin de trouver l’inspiration, Maury multiplie les expériences alcoolisées, afin de trouver l’idée qui le propulsera en tête du box-office. Il est, lui aussi, un écrivain en devenir.

Maury s’expose au soleil, l’été, afin d’obtenir une « jolie couleur bronzée ». Il faut dire que le jeune homme aime particulièrement les épidermes cuits au soleil. La « pigmentation voluptueuse » qui en résulte aurait même tendance à le rendre lyrique !

Maury est un gai luron qui se déplace en bande et ne rechigne pas à amuser la galerie avec ses histoires de potaches. Un jour, au bain turc de Boston, il s’est, ainsi, fait passer pour un masseur. « On se l’est attrapé, on l’a jeté tout habillé dans la piscine, puis on l’a ressorti, on l’a allongé sur une dalle, et on lui a donné des claques à lui en faire voir 36 chandelles. »

Richard Caramel, l’ami entremetteur par qui tout arrive

Richard Caramel est un autre ami d’Anthony. Un petit blond à l’aspect poupin ! Le cousin de Gloria… Ce seul titre lui suffit !

Gloria, une petite beauté bronzée et abondamment cosmétiquée

Gloria Gilbert est la cousine de Richard (Dick) Caramel. « Une petite beauté », selon son cousin ! Une beauté de 22 ans, qui en paraît à peine 18 et qui passe du temps à « se faire une beauté ». Une jeune fille, qui intimide les hommes du fait de sa grande beauté !

Sa mère est une femme toute en rondeurs, qui use de teinture capillaire ; ses cheveux sont, en effet, d’un « gris soutenu artificiel ». « Mielleuse comme du sirop d’érable coulant dans un bocal »…

Son père est un homme qui peut être qualifié de « raseur ».

Gloria possède une jolie peau, qu’elle aime à faire bronzer, en été. « Elle m’a raconté quel genre de hâle elle aimait avoir l’été, et comment elle y arrivait toujours à peu près. » Lorsqu’on lui parle de ce hâle séduisant, Gloria a un drôle de réflexe. Elle porte ses mains à son cou, comme si ses doigts étaient capables de palper « des nuances de couleur ». En vacances, alors que son amie Constance Merriam se protège du soleil sous un « parasol rayé », Gloria, « voluptueusement allongée sur le sable chaud et doux », se laisse caresser par le soleil sans complexe.

En hiver, Gloria arbore un « teint de lys », qui lui va également à merveille. Ce teint marmoréen est visiblement obtenu à l’aide de poudre de riz (Fitzgerald précise, en effet, qu’Anthony embrasse « la nuque poudrée de sa femme ») ; une poudre de riz efficace, qui lui permet de conserver un bel « éclat » et toute sa « fraîcheur », même après une soirée décadente. Effet « bonne mine » assuré !

Gloria affiche une chevelure magnifique, d’un blond d’une « splendeur insouciante », une « splendeur enfantine, allant de la blondeur des blés à un or roux vénitien ». Un capillaire qualifié de « splendeur divine » ! Un capillaire, qu’elle sacrifie subitement pour une « coupe au carré ». Un geste jugé « audacieux » pour l’époque, puisque ce n’est pas encore la mode (ce le sera 5 ou 6 ans plus tard) ! Plus tard, lorsqu’elle aura 30 ans, Gloria les portera à nouveau longs ; elle usera de cosmétiques, pour leur donner une teinte « châtain sans éclat »… puis elle optera pour des shampooings, suivis de traitement avec de « l’eau oxygénée dans l’eau de rinçage » lorsqu’elle voudra revenir à sa teinte d’origine.

Gloria a un sacré tempérament et n’aime guère qu’on vienne lui donner des ordres en matière de conseils-beauté. « Oh, Gloria, si tu fumes autant, tu vas ruiner ton joli teint. » ! Pour se calmer, Gloria prend « bain chaud sur bain chaud » !

Gloria aime à se maquiller en couche épaisse ; elle n’hésite pas à s’habiller en gris « parce qu’avec le gris, il faut forcer sur le maquillage » ! Sa fatigue, Gloria la dissimule grâce « à des soins cosmétiques ».

Tout comme ses amies, Gloria s’inonde de parfum, un parfum floral, qui résulte du « massacre » d’un grand nombre de fleurs innocentes, « des parfums de tant de fleurs massacrées mais vivantes ». Un « parfum léger, évanescent, familier » pour Anthony qui en raffole.

Gloria « trace le contour de ses lèvres d’un trait aussi décidé que délicat ». Et elle y revient plusieurs fois, avant de réussir à obtenir le tracé le plus parfait possible. « Elle venait d’effacer le contour des lèvres et de le corriger selon un plan mystérieux. Pas un doigt ne tremblait tandis qu’elle maniait le rouge à lèvres, pas un regard ne s’égarait vers Anthony. C’était un chef-d’œuvre de concentration. » Beaucoup d’efforts pour obtenir une bouche rouge à souhait.

Après une dispute, Gloria ne se fâche même pas lorsqu’Anthony vient « enlever par un baiser un peu du rouge de ses lèvres. » « Magnanime », Gloria précise : « Tu peux enlever tout mon rouge à lèvres en m’embrassant quand tu voudras. »

Après une soirée arrosée et enfumée, Gloria se brosse soigneusement les dents, pour tenter de « se débarrasser de cet arrière-goût insupportable », qui revient après chaque « gueule de bois » !

Gloria, une petite beauté, un poil vulgaire

Gloria aime être le centre des conversations, être admirée. Ce que l’on dit d’elle est parfois outré… tant pis ! Pourvu que l’on parle d’elle. Les pires rumeurs courent donc sur cette « fleur parfumée », qui se serait, un jour, « baignée dans la piscine de Yale en robe de mousseline de soie ». Une soirée T-shirt mouillé avant l’heure !

Gloria, une petite beauté qui suce des boules de gomme

Gloria est adepte des « boules de gomme ». Elle en consomme des quantités impressionnantes, afin d’éviter de se « ronger les ongles » !

Gloria, une petite beauté qui craint de vieillir

L’été, on l’a dit, Gloria aime brunir au soleil. Pourtant, elle le sait ce bronzage n’est pas bon pour sa peau. Le miroir le lui dit : « Ah, jeune et belle dame, vous n’êtes pas la première à avoir vu votre fragile délicatesse se faner ici sous les soleils de tant d’étés » ! Gloria a beau posséder des tonnes de « produits de beauté »… rien à faire… le soleil avec ses effets délétères sur les fibres élastiques de la peau aura le dernier mot.

Après quelques années de mariage, Gloria décide de se lancer dans le cinéma, afin de fixer sur la pellicule sa beauté une fois pour toutes (« l’illusion de la beauté pourrait être maintenue, ou peut-être préservée sur pellicule une fois que la réalité aurait disparu. »). Un bout d’essai est tourné chez Joseph Black. Le studio est accueillant. « Il n’y avait pas cette odeur lourde et oppressante de maquillage, ces exhalaisons de costumes criards et salis qui lui avaient fait horreur, des années plus tôt, dans les coulisses d’une comédie musicale. » et Gloria, pleine d’espoir, se hâte d’aller dans une loge pour se maquiller. Il lui sera conseillée la modération… « Ne forcez pas la dose. Très peu de rouge. » Laissée seule face à tous les produits de beauté, Gloria fait au mieux. Mais obsédée par son maquillage (elle « se demandait si elle s’était correctement maquillée » ; « Elle s’inquiétait de savoir si elle avait ou non mis assez de maquillage, et, comme elle était censée jouer le rôle d’une fille de 20 ans, elle se demandait si elle n’avait pas été un tantinet trop grave. »), Gloria rate lamentablement son bout d’essai. En attendant les résultats, elle se mord l’intérieur des joues et se met « les muqueuses à vif », au point que le « bain de bouche » qu’elle utilise alors lui crée de terribles brûlures. Et lorsque le couperet tombe (Gloria ne fait pas l’affaire !), ce sont, bien sûr, les cosmétiques qui sont mis au banc des accusés. « Elle essaya de se dire que c’était le maquillage ».

Et puis, au fil des ans, Gloria va user de plus en plus de références cosmétiques, afin d’éviter la formation des « petites rides » qui l’angoissent (elle n’a alors pourtant que 30 ans). « Tous les soirs, quand elle faisait sa toilette avant de se coucher, elle s’enduisait la figure de quelque nouvel onguent, espérant, contre toute logique, qu’il lui permettrait de retrouver l’éclat et la fraîcheur de sa beauté déclinante. » Fitzgerald, pour évoquer cette passion pour les cosmétiques anti-âge, emploie le terme « d’onguents tragiques » !

Gloria, une petite beauté qui refuse la maternité

Pas question pour Gloria d’attendre un enfant. « La menace sur sa beauté que cela représentait » lui fait « horreur » !

Gloria et Anthony, l'hygiène en commun

Evidemment, Gloria et Anthony vont se marier. Ces deux-là se sont reconnus. Ils sont « propres ». D’une propreté « d’un genre aéré ». « Propres comme des torrents » et non comme des « casseroles bien récurées » ! Il faut dire que tous les deux apprécient fort de passer du temps dans leur salle de bain. On estime, ainsi, que Gloria passe « un bon tiers de ses journées » dans son bain… quand même !

Gloria et Anthony, des bulles de savon en commun

Gloria et Anthony font, ensemble, des bulles de savon. Des bulles « magnifiques », qui éclatent en plein vol. Des bulles, encore et encore, « jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de savon ni d’eau. »

Gloria et Anthony, des ennemis pour la vie

Au bout de 6 ans de mariage, les deux époux ont établi leur diagnostic respectif.

Gloria a « une nervosité à fleur de peau » et la tyrannie ancrée dans l’épiderme. « La mauvaise humeur de Gloria » s’exerce à tout bout de champ, pour un « manque d’eau chaude pour » le « bain » ! Difficile, elle chipote sur la nourriture et refuse de manger du poulet ! Peu soucieuse de la tenue de son ménage, elle laisse traîner le linge sale et oublie fréquemment de confier le « linge au blanchissage » ! Bref, une vraie mégère !

Anthony est, quant à lui, d’un « orgueil » démesuré et d’une « lâcheté absolue » ! Bref, un malotru !

Et une jeune femme qui sèche ses cheveux au soleil

Par la fenêtre de sa salle de bain, Anthony observe, non sans plaisir, une jeune femme qui sèche « ses cheveux au soleil ».

Et une autre franchement « trop »

Muriel Kane se peint les lèvres en rouge, « ses lèvres trop rouges » ; ses ongles « trop longs, trop soignés, polis et peints d’un rose artificiel, malsain », ses vêtements de couleur « trop vive »… font de cette jeune fille, au « joli teint laiteux », une personne très peu fréquentable.

Et encore une autre également « trop »

Muriel est une jeune fille dont les yeux sont « artificiellement noircis » et le corps savamment « poudré » ; elle empeste le parfum, un « parfum lourd », qui laisse trop de traces. Une « vamp », qui ne pense qu’à son corps et à ses cosmétiques !

Et de jeunes ouvrières qui sentent le savon

A New-York, en soirée, on croise dans la rue de jeunes ouvrières « pas bien belles », qui emballent du « savon dans les usines », pendant la journée ou bien de jeunes vendeuses en confection, qui ne rêvent que d’une chose : trouver un mari qui prendra soin d’elles.

Et une grosse dame à la peau flasque

Chez le coiffeur, Anthony observe les gens qui passent dans la rue. Une grosse dame, aux « joues flasques qui avaient subi trop de massages », attire son attention. Cette épave qui a, pourtant, pris soin de sa peau, est des plus déprimantes.

Et un public gominé

Au théâtre, les femmes arborent des coiffures compliquées, pendant que les hommes tentent de faire discipliner leurs cheveux en les plaquant au crâne à l’aide de gomina (« les cheveux lisses, gominés, d’hommes soignés »).

Et un drugstore qui sent les produits de beauté

Le drugstore sent « les médicaments, le soda renversé, avec des effluves agréables en provenance du rayon des produits de beauté. »

Et la demeure du général Lee, comme une vieille femme maquillée

La demeure du général Lee à Arlington a été rénovée… Colère d’Anthony, qui s’effare de constater que l’on a travesti la vieille demeure authentique. « Mais on en a fait une vieille bonne femme de 60 ans enduite de maquillage, avec des cheveux teints en blond. » Quelque chose d’incongru !

Et un serviteur « affreusement rasoir »

Gloria et Anthony sont servis par Tanalaka, un Japonais, présenté comme « affreusement rasoir ».

Et un capitaine très rasoir aussi

Dans le camp d’entraînement où Anthony attend de prendre part à la guerre, la discipline tend à se relâcher au fil des mois. Le capitaine Dunning constate, ainsi, un jour, que tous ses hommes ne sont pas rasés de près… Quatre hommes (trois Italiens et un Polonais) se laissent pousser la barbe… Une barbe, qui sera rasée illico, par un « barbier volontaire », « à sec » !

Et un drôle de solarium

Anthony irrite Gloria, du fait de son caractère déprimé. « Votre pessimisme ne trouve pas place dans mon petit solarium personnel. »

Beaux et damnés, en bref

Quelle vie chez Anthony et Gloria ! Les fêtes se succèdent. L’alcool coule à flots. Les invités vomissent « dans la salle de bain de Gloria » ! Les deux époux passent leur temps à se disputer… L’un et l’autre se tapent mutuellement sur les nerfs. Et pourtant, tous deux restent rivés l’un à l’autre, comme des condamnés soudés par une même chaîne. Oisiveté ! Fards, cosmétiques anti-âge, onguents variés, teintures capillaires, shampooing, bains chauds, la vie de ces deux oisifs semble tourner en rond dans une salle de bain de luxe. Franchement, pour une fois, ces cosmétiques nous donnent la nausée !

Un grand merci à Jean-Claude A. Coiffard, poète et plasticien, pour son illustration du jour.

Bibliographie

1 Fitzgerald F., Beaux et damnés, Gallimard, 2022, 558 pages

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