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Les acides de fruit, un flou artistique (2/2)

> 15 août 2018

Les acides de fruit, un flou artistique (2/2) Dans le regard « Les acides de fruit, une histoire ancestrale (1/2) » (https://www.regard-sur-les-cosmetiques.fr/nos-regards/les-acides-de-fruit-une-histoire-ancestrale-1-2-736/), nous nous sommes arrêtées aux années 1990.

Dans les années 2000, on constate un véritablement emballement dans l’emploi de ces ingrédients. Les sociétés s’enhardissent de plus en plus et augmentent régulièrement leur pourcentage d’incorporation jusqu’à atteindre des valeurs de l’ordre de 30 %.

En 2017, la plupart des sociétés commercialisant des produits finis ont revu leur pourcentage d’incorporation à la baisse, et c’est tant mieux.

D’un point de vue réglementaire, il serait, toutefois, judicieux d’imposer un pourcentage limite d’emploi, étant donné les effets indésirables (érythèmes, picotements...) associés à ce type de matières premières. On espère que ce vide réglementaire sera comblé dans les années à venir.

A noter également le problème lié à la réalisation des cosmétiques-maison et des sociétés qui fournissent leurs adeptes en matières premières.




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