> 01 novembre 2024

2005, « La fille du bord de mer » de La Grande Sophie n’est pas une héroïne de cinéma.¹ Il s’agit plutôt d’une figure de la loose.

Elle se maquille comme l’as de pique. « Elle avait sur ses deux paupières/L'eye-liner en abondance/Elle avait de quoi/Faire fuir tous les gars »

Elle n’a pas le sou ; elle est en location ; « Et l'été tout comme l'hiver/Elle restait toujours très blanche ».

Elle ne répond pas aux critères de beauté de son époque ; elle ne répond pas au téléphone ; elle ne répond à rien et c’est certainement cela qui a attiré l’œil expert de La Grande Sophie.

Un grand merci à Jean-Claude A. Coiffard, poète et plasticien, pour son illustration du jour.

Bibliographie

¹ https://www.paroles.net/la-grande-sophie/paroles-la-fille-du-bord-de-mer