> 21 octobre 2019

De la toile ou peau cirée destinée à former pansement de la célèbre Louise Bourgeois au crêpe de chine de la cocotte du XIX^e siècle, on se rend compte que la lingette n’est pas née d’hier. Si le support a changé, l’idée reste identique.¹ On recherche de la douceur alliée à de l’efficacité.

Ce qui est valable dans la salle de bain l’est également dans les toilettes. Fess’nett est le « premier papier toilette humide en France en 1994 ».²

S’il n’est plus le seul, aujourd’hui, il reste de composition exemplaire. La lotion qui imprègne le support est une solution aqueuse renfermant un extrait de feuille d’aloe vera, un tensioactif doux (PEG-40 hydrogenated castor oil), un agent apaisant (allantoin), un agent surgraissant (gossypium herbaceum seed oil), des adaptateurs de pH et un conservateur antimicrobien.

A noter la présence sur l’emballage, à la fois, d’une date de péremption et d’une PAO. Avec cette double information, on est sûr d’utiliser un produit plein de fraîcheur.

Entre le support en coton et le surgraissant choisi, de l’huile de graines de coton, on nage dans une douceur cotonneuse ! Merci, Fess’nett !

Bibliographie

¹ https://www.regard-sur-les-cosmetiques.fr/nos-regards/les-lingettes-impregnees-un-concept-qui-ne-date-pas-d-hier-445

² https://www.fessnett.fr/nos-valeurs-notre-philosophie/

Composition

Fess’nett lingettes humides : Aqua, propylene glycol, aloe barbadensis leaf extract, sodium benzoate, PEG-40 hydrogenated castor oil, tetrasodium glutamate diacetate, allantoin, parfum, ethylhexylglycerin, gossypium herbaceum seed oil, citric acid, sodium hydroxide.