Nos regards
Bécassine, mais qu’est-ce qu’elle a donc sous sa coiffe ?

> 29 juin 2018

Bécassine, mais qu’est-ce qu’elle a donc sous sa coiffe ? Bécassine, c’est notre copine, la fidèle compagne de notre enfance. Dans les beaux albums des éditeurs Gautier-Languereau, nous avons suivi la plupart de ses aventures.

Sa coiffe, Bécassine ne la quitte jamais. Mais que trouve-t-on sous cette coiffe ? C’est dans l’album « Bécassine nourrice » que l’on trouve la réponse à cette question.

Bécassine est plus coquette qu’on ne le pensait. Tous les samedis, Bécassine met en place ses bigoudis... « Vous me demanderez peut-être pourquoi je perds mon temps à des bigoudis dont personne ne voit jamais le résultat. Eh bien c’est une habitude que ma maman m’a donnée quand j’étais toute petite et que j’ai toujours continuée. Le dimanche, lorsque je vais à l’église, il faut que je sache qu’il y a sous ma coiffe deux mèches bien frisées de la veille au soir. Sans ça il me semblerait que je ne suis pas habillée convenablement pour la messe. »

C’est donc par amour filial que notre chère Bécassine perpétue cette habitude cosmétique. Elle ne confie son capillaire ni à Eugène Schueller, ni au célèbre Marcel, ni à René Rambaud (https://www.regard-sur-les-cosmetiques.fr/nos-regards/des-odeurs-et-des-parfums-autour-d-une-prisonniere-196/). Elle roule ses boucles de cheveux sur des bigoudis et zou !

Outre deux boucles patiemment frisées, Bécassine cache sous sa coiffe un cœur gros comme ça et c’est cela qui nous plaît tant chez elle !

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